Note : 9 / 10
éditions Albin Michel
576 pages

Quatrième de couverture :
Passion, faux-semblants, emprise… Qui manipule qui ?
Une jeune femme fragile en quête d’un nouveau départ.
Un couple magnétique et fascinant prêt à lui ouvrir les portes de son monde doré.
Un trio pris au piège d’un jeu cruel et d’une dépendance fatale.
Dans ce roman sombre et envoûtant, Mélissa da Costa explore, à travers l’histoire d’une passion toxique, la face obscure de l’âme humaine et les méandres du désir.
Mon avis :
Je ne connaissais pas du tout la plume de Mélissa Da Costa et on m’avait dit de lire les autres avant celui-ci car il était écrit dans un autre style. J’en ai fait qu’à ma tête et je l’ai lu un an après mon achat quand même au salon du livre du Mans. Comme j’étais enceinte je n’avais pas pu rencontrer l’auteure car il y avait trop d’attente. J’ai bien fait d’attendre pour le lire car ce roman m’a bouleversée, il m’a parfois dérangé.
On découvre au début du roman, Evie qui est une jeune femme complètement perdue et qui se laisse bercer par le flot de sa vie. Jusqu’au jour où son amour se brise avec Jean. Elle décide alors de changer de vie et de partir. Elle rencontre alors Pierre qui l’embauchera pour être l’assistante de sa femme Clara qui est artiste peintre. Elle découvrira le luxe du couple et elle changera considérablement de vie. Elle deviendra la doublure de l’artiste pour apparaître en public. Comme le Ying et le Yang, le côté sombre et l’autre la lumière. Sauf qu’elle découvrira certaines faces cachées du couple et se verra aspirée dans cette spirale infernale. Mais arriveront ils à trouver un équilibre ?
Dans ce roman nous découvrons l’histoire de certains tableaux sur différentes religions ce qui est très intéressant.
On connaîtra dans ce roman tous les excès. On ne s’attend pas à tant de souffrance et de trahison dans ce roman. Et je ne m’attendais pas du tout à cette fin.
Un roman où on n’en sort pas indemne et qui laisse des traces.
Il faut que je le sorte de ma pal.
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