Livre : « Comme une lettre à la poste » d’Agnès Marot

Note : 9 / 10

Éditions Eyrolles
322 pages

Quatrième de couverture :

Élaïa est éditrice freelance et bibliophile. Elle reçoit chaque semaine des livres par la Poste de la part des maisons d’édition avec lesquelles elle collabore. Mais, depuis quelque temps, les enveloppes arrivent en retard, froissées, les livres sont cornés et annotés. Intriguée, Élaïa propose un marché à son mystérieux voleur : s’il lui remet ses livres en temps et en heure, elle s’engage à les reposer dans sa boîte aux lettres après les avoir lus. Débute alors une correspondance par livres interposés, où les mots manuscrits rencontrent les mots de papier. Les deux solitaires s’apprivoisent et se dévoilent au fil de leurs lectures… jusqu’à ce qu’Élaïa découvre enfin l’identité de son correspondant. Mais la magie opérera-t-elle dans la vraie vie ?

Agnès Marot signe une déclaration d’amour à la littérature, aux livres qui étendent nos horizons, à ceux que l’on partage et qui nous rapprochent. Avis à tous les bibliophiles !

Mon avis :

J’ai aimé découvrir le personnage d’Élaïa qui a raviver mon rêve laissé dans un coin de mon cœur à être freelance dans la littérature. Découvrir plein de livres, les conseillers, les partager !
Élaïa est une grande passionnée par la littérature avec un grand L. Grâce à son blog et ses fiches avis nous pouvons découvrir de nouvelles lectures.
Jusqu’au jour où elle ne reçoit pas les livres en temps et en heure dans sa boîte aux lettres et les retrouve quelques jours plus tard cornet et avec des annotations.
Qui peut bien se procurer ses livres avant elle ? Elle rédigera alors un pacte avec ce mystérieux personnage « voleur de livres » s’ensuivra une correspondance entre eux.
Arriveront ils à franchir la barrière des mots pour se voir réellement ?

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