Note : 4 / 10
Éditions Seuil
192 pages
Quatrième de couverture :
Le temps d’une journée hors normes, Leyla arpente frénétiquement les rues de Paris, les bars, les boîtes, les bords de Seine alcoolisés, rencontrant un peuple de marginaux, mais aussi ses amis et ses amants de passage. Cette jeune femme à l’identité fissurée, qui ne se sent ni d’ici ni d’ailleurs, est déchirée entre une famille traditionnelle de culture arabo-musulmane et une quête sexuelle, incantatoire. Refusant de choisir entre les injonctions de la société, Leyla revendique avec rage sa liberté.
Monia Aljalis s’est affranchie de tous les classicismes pour décrire dans une langue poétique et crue les tourments et les espoirs d’une génération. Après un réquisitoire contre les dérives modernes surgiront les miroitements de la beauté et enfin, au bout de la nuit, une forme d’apaisement. L’aube de tous les recommencements.
Mon avis :
Tout d’abord merci à Babelio pour l’envoi pour découvrir ce roman.
J’ai hésité à donner mon avis car je n’aime pas dire du mal d’un livre, qui n’a pas été à mon goût car je sais que le temps d’écriture est long et que c’est un travail titanesque.
L’auteure Monia est très douée pour la poésie mais j’ai trouvé ça trop crut dans certains de ses mots. Je n’ai pas compris le but de cette histoire. J’ai senti le personnage Leyla complètement perdue dans sa vie.
On découvre Paris avec Leyla mais dans un autre genre que je n’ai pas forcément apprécié. Où je n’ai pas compris là où le livre devait m’emmener. En tout cas je n’ai pas été embarqué je suis resté à quai.
C’est une belle écriture avec des rimes et recherché. Mais j’ai ressenti de la noirceur dans ce roman, du dégoût. Je ne suis peut-être pas le bon public.
Et j’ai eu beaucoup de mal à le lire.
Elle et son avis 