Note : 5 / 10
Éditions Robert Laffont
272 pages

Quatrième de couverture :
La fillette meurt. Voici le fait par lequel Estela commence son récit. Estela, qui a quitté sa famille dans le sud du Chili pour la capitale où elle travaille comme employée de maison. Estela, qui sest occupée pendant sept ans de la jeune victime, l'a bercée, nourrie, rassurée, grondée aussi. Qui connaît chaque étape ayant mené au drame : la chienne, les rats, les aveux, le poison, le pistolet. Chaque étape jusqu'à linéluctable.
Un roman psychologique haletant, angoissant et addictif, à travers lequel notre époque se dessine – une société fracturée par les rapports de domination et d’argent, où les uns vivent dans l`ombre des autres.
Mon avis :
Je voulais commencer par remercier la box Kube et les éditions Robert Laffont pour cette lecture commune à laquelle j’ai eu la chance de participer.
C’est la première fois que je lis un roman chilien.
On découvre le récit d’Estela comme si elle s’adressait à nous, qu’elle se confessait. J’ai été souvent très mal à l’aise avec son récit. J’ai été troublé quand elle a révélé son âge car je ne m’y attendais pas du tout. Au vu de son comportement, je m’attendais à ce que ce soit une gamine ! Elle a des comportements envers ses employés (Monsieur et Madame) que je n’ai eu du mal à comprendre. Pour moi, ils ne l’a maltraitaient pas, ils ne l’humiliaient pas. Rien qui peut justifier son comportement.
Par contre, elle parle beaucoup de sa maman, on sent que c’est un amour profond qu’elle a envers elle. On sent qu’elle a très envie de la retrouver avec l’argent qu’elle gagnera en tant que bonne.
J’avoue que pour ma part c’est un avis très mitigé.
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