💭 L’amitiĂ© n’a pas d’ñge

Il y a des livres qui nous rappellent de belles vérités, simplement, sans grands discours.
La boutique des objets abandonnés de Marianne Cronin (éditions Nami) en fait partie.

Je ne vais pas encore t’en parler en dĂ©tail — ce sera pour ma chronique de mercredi — mais j’avais envie aujourd’hui de m’arrĂȘter sur le thĂšme de l’amitiĂ© intergĂ©nĂ©rationnelle, si joliment mis en lumiĂšre dans ce roman.

On croit souvent qu’il faut avoir le mĂȘme Ăąge pour se comprendre, partager les mĂȘmes repĂšres, les mĂȘmes rĂ©fĂ©rences
 Et pourtant, certaines des plus belles connexions naissent justement dans la diffĂ©rence.

Une amitiĂ© entre deux gĂ©nĂ©rations, c’est un Ă©change de regards sur le monde.
C’est une oreille qui Ă©coute sans juger, une parole qui rassure, un rire partagĂ© qui traverse les annĂ©es.
C’est la sagesse qui rencontre la spontanĂ©itĂ©. La mĂ©moire qui croise la fraĂźcheur du prĂ©sent.

Ces liens sont rares, mais puissants.
Ils nous rappellent que l’amitiĂ© n’a pas d’ñge, seulement un cƓur ouvert.
Qu’on peut apprendre, aimer, se confier et grandir, quel que soit le nombre de bougies sur nos gñteaux respectifs. 🎂

En refermant ce roman, j’ai repensĂ© Ă  ces personnes d’autres gĂ©nĂ©rations qui ont marquĂ© ma vie — parfois juste par une phrase, un sourire, une prĂ©sence.
Elles m’ont appris que la vie est plus riche quand on se relie, quand on ose Ă©couter au-delĂ  des annĂ©es.

Et toi, as-tu dĂ©jĂ  vĂ©cu une amitiĂ© “hors du temps” ?
Une de celles qui bousculent un peu et laissent une trace douce dans le cƓur ? đŸ’«

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