Quatrième de couverture :
Elle a été enlevée à sept ans dans son village du Darfour et a connu toutes les horreurs et les souffrances de l’esclavage. Rachetée à l’adolescence par le consul d’Italie, elle découvre un pays d’inégalités, de pauvreté et d’exclusion.
Affranchie à la suite d’un procès retentissant à Venise, elle entre dans les ordres et traverse le tumulte des deux guerres mondiales et du fascisme en vouant sa vie aux enfants pauvres.
Bakhita est le roman bouleversant de cette femme exceptionnelle qui fut tour à tour captive, domestique, religieuse et sainte.
Avec une rare puissance d’évocation, Véronique Olmi en restitue le destin, les combats incroyables, la force et la grandeur d’âme dont la source cachée puise au souvenir de sa petite enfance avant qu’elle soit razziée.
Mon avis :
Ce livre a été un gros coup de cœur pour moi.
Première fois que je lis un livre tiré d’une histoire vraie.
Et quel livre !!!
La première partie du livre sur l’esclavage est dure à lire.
La première partie du livre sur l’esclavage est dure à lire.
On est spectateur ce que Bakhita vit et j’ai eu parfois eu le souffle coupé et envie de pleurer.
Je me suis posé plusieurs fois la question de savoir comment peut-on haïr autant des êtres humains, les frappés, les humiliés, … Les traiter comme des moins que rien pire que des objets …
Cette femme a eu un courage extraordinaire, elle a été tiraillé par de nombreuses séparations déchirantes tout au long de sa vie.
Je me suis posé plusieurs fois la question de savoir comment peut-on haïr autant des êtres humains, les frappés, les humiliés, … Les traiter comme des moins que rien pire que des objets …
Cette femme a eu un courage extraordinaire, elle a été tiraillé par de nombreuses séparations déchirantes tout au long de sa vie.
La deuxième partie du livre est plus apaisante quand elle rentre dans les ordres en tant que religieuse. Mais elle connaîtra encore des séparations et les deux guerres mondiales et fascisme. On en apprend plus sur l’histoire de l’Italie (un petit peu de culture).
Véronique Olmi en écrivant ce livre elle lui rend un bel hommage car il est magnifiquement écrit.