Livre : « Luna » de Serena Giuliano

Note : 9 / 10

Editions Robert Laffont
217 pages

Quatrième de couverture :

Parfois, on pense trouver le soleil en août, mais c’est la lune qu’on trouve en mars.
Luna arrive à Naples contre son gré : son père est gravement malade. Rien, ici, ne lui a manqué. Ses repères, ses amies, son amour sont désormais à Milan. Alors pourquoi revenir ? Pourquoi être au chevet de son papa, au passé trouble, et avec lequel elle a coupé les ponts ?
Mais Napoli est là, sous ses yeux : ses ruelles animées et sales, ses habitants souriants et intrusifs, sa pizza fritta, délicieuse et tellement grasse, son Vésuve, beau et menaçant…
Est-il seulement possible de trouver la paix dans une ville si contrastée ? Mais si ce retour aux sources sonnait finalement l’heure de l’apaisement ?

Mon avis :

Une fois n’est pas coutume, je pars en Italie et j’emporte avec moi le dernier de Serena Giuliano.

Luna le personnage principal retrouve la ville de son enfance à contre cœur. Mais son papa n’est pas bien du tout et elle veut être prêt de lui malgré la souffrance du passé.
Elle découvrira la chatte de son papa ou plutôt une tigresse celle-ci lui fera comprendre qu’elle n’est pas la bienvenue dans cet appartement ou qu’il y a un être de trop. C’est assez drôle d’ailleurs. Dans son roman Serena nous parlera de l’atmosphère dans l’hôpital où est son papa. Le manque de moyens alors que c’est un hôpital soi-disant moderne. On découvrira les amies de Luna et l’importance de leur soutien. Et leur jeu avec « titre » est vraiment très drôle.
Luna apprendra à vaincre ses peurs et allé au-delà. Ce voyage à Naples va changer beaucoup de choses.
Lors de son voyage elle rencontrera la voisine de son papa Filomena qui est triste de la solitude.
L’auteure parle de différents sujets qui nous touche plus ou moins dans notre quotidien ou la société.

Serena c’est mettre des mots sur nos maux.
Grazie !