Note : 9 / 10
Editions Prisma
362 pages
Quatrième de couverture :
Polly Waterford ne voit pas le temps passer… Sa petite boulangerie l’occupe du matin au soir, au désespoir d’Huckle, son compagnon, qui rêve de profiter d’une simple grasse matinée avec elle. À l’approche des fêtes de fin d’année, Huckle rêve aussi d’un Noël en amoureux, bien au chaud dans leur grand phare, avec leur petit macareux Neil.
Mais quand Kerensa débarque à Mount Polbearne pour dévoiler à sa meilleure amie un terrible secret sur son passé, Polly voit soudain son avenir s’assombrir. D’autant que la révélation de Kerensa menace la belle histoire qu’elle a construite avec Huckle.
Jusqu’à présent, Polly a toujours réussi à surmonter les épreuves en cuisinant. Pourtant, cette fois-ci, préparer de bons petits pains risque de ne pas suffire à la sortir d’affaire.
Polly est-elle prête à affronter son passé ? Réussira-t-elle à remettre sa vie sur de bons rails pour passer un joyeux Noël auprès de ceux qu’elle aime ?
Mon avis :
Après avoir lu les deux premiers tomes de la petite boulangerie j’étais ravie de retrouver Polly, Huckle, Neil, Kerensa, Reuben et les autres habitant de la petite île de Mont Polbearne. Mais se sera en hiver, le décor sera différent du précédent tome où il faisait plus chaud car là les températures sont glaciales.
Quand Kerensa avouera son terrible secret se sera terrible pour Polly de garder ce lourd celui-ci, ne rien dire à Huckle et comme-ci ce secret n’était pas suffisant, Polly ira de surprise en surprise avec son passé.
Ce roman est beau et émouvant.
Polly et Huckle se perdront de nouveau dans ce tourbillon d’évènement. Polly sera complètement envahie et perdue dans ses sentiments.
On apprendra plus sur le passé de Polly et de sa maman ce qui fait que l’on se sent vraiment proche d’elles.
Je vous le recommande avec une bonne tasse de thé, des chaussettes chaudes ainsi qu’un bon plaid.
L’avez-vous lu ? Connaissez-vous cette saga de la petite boulangerie ?
Un commentaire sur “Livre : « Noël à la petite boulangerie » de Jenny Colgan”