Note : 8 / 10
Editions Pocket
167 pages

Quatrième de couverture :
À quoi ça rime, tout ça ? Arthur Darrobat, la trentaine, chimiste, voulait trouver un remède à la maladie d’Alzheimer. Vivre le grand amour avec Sophie. Bref : réussir sa vie. Le voilà désormais démissionnaire et célibataire, avec pour seule compagne la chatte laissée par son ex – une siamoise tout en griffes qui le déteste, et réciproquement… Que faire, maintenant ? Et pourquoi ? Le Parisien s’installe alors à la campagne – pays du temps long où règnent les abeilles, les menus tracas, le bruit du vent. Du haut de son brin d’herbe, trouvera-t-il enfin ce sens qui manque à sa vie ?
Mon avis :
J’avais mis ce livre dans ma liste à lire depuis un moment. Je l’ai trouvé à la bibliothèque je me suis donc penché sur celui-ci. Antoine l’auteur nous confie à la fin du livre que c’est un peu son vécu qu’il a écrit dans cet ouvrage.
En personnage principal on retrouve Arthur parisien, qui est tellement attristé par le décès de son papa dû à la maladie Alzheimer qu’il vivra à fond avec ses molécules et chimie sans se rendre compte que sa petite amie s’en fout royalement de sa passion et sa personne. Elle le laissera en plan et lui laissera sa chatte Baby siamoise. Arthur fou amoureux ne comprendra pas ce qui se passe. Suivra que le laboratoire où il travail souhaite des résultats rapidement. Ils veulent du concret sauf qu’Arthur n’en est pas là.
Il décide de tout plaquer et de partir à la campagne pour changer de vie royalement. Suivra des doutes, des rencontres et tous les bienfaits de la campagne mais aussi ses malheurs.
Une histoire qui nous fait voir la vie autrement. Après ça n’a pas été un coup de cœur, j’ai aimé mais sans plus.
Un commentaire sur “Livre : « Du haut d’un brin d’herbe, on voit bien la terre » d’Antoine Paje”