Note : 9.5/10
Éditeur : Pocket
288 pages
Quatrième de couverture :
Depuis l’enfance, Iris a une passion pour la couture. Dessiner des modèles, leur donner vie par la magie du fil et de l’aiguille, voilà ce qui la rend heureuse. Mais ses parents n’ont toujours vu dans ses ambitions qu’un caprice : les chiffons, ce n’est pas » convenable « . Et Iris, la mort dans l’âme, s’est résignée.
Aujourd’hui, la jeune femme étouffe dans son carcan de province, son mari la délaisse, sa vie semble s’être arrêtée. Mais une révélation va pousser Iris à reprendre en main son destin. Dans le tourbillon de Paris, elle va courir le risque de s’ouvrir au monde et faire la rencontre de Marthe, égérie et mentor, troublante et autoritaire…
Portrait d’une femme en quête de son identité, ce roman nous entraîne dans une aventure diabolique dont, comme son héroïne, le lecteur a du mal à se libérer.
Mon avis :
Un coup de cœur pour se livre. J’adore vraiment la plume de l’auteure Agnès Martin-Lugand. Quand on commence ses romans on n’arrive pas à s’en détacher.
Ils sont addictifs !
J’ai adoré suivre les aventures d’Iris dans sa vie « plan plan » avec son mari et qui déteste son métier. J’ai rêvé a travers cette lecture dans le monde de la couture qui m’a toujours fascinée. Je couds un peu mais je ne suis pas assez patiente pour les gros œuvres et je suis impressionné par ses couturières qui sortent de leur machine à coudre et de leurs petites mains des habits.
Grâce à cette occasion de stage qu’elle va avoir au côté de Marthe elle va se découvrir. Elle va savoir ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas. Ce stage est une révélation. Marthe va l’aider à faire ses choix qui seront peut-être pour elle les bons ou mauvais.
Elle rencontrera le beau Gabriel ! Je vous en dis pas plus 😉
Ce roman est pleins de rebondissement on ne s’ennuie pas. On ne le lâche pas, on a envie de connaître la suite, la fin.
Un roman que je recommande bien sûr comme tous ceux d’Agnès Martin-Lugand !
2 commentaires sur “Livre : « Entre mes mains le bonheur se faufile » de Agnès Martin-Lugand”