Note : 8 / 10
Éditions de l’escampette
180 pages

Quatrième de couverture :
Fina ne supporte plus l’humeur négative de son mari.
Un « pff, n’importe quoi ! » de trop la pousse à faire sa valise sur-le-champ pour quitter Paris et s’installer dans une île grecque où a fini sa vie une actrice américaine dont elle traduit la biographie.
Une amitié se noue avec Costi, le vieux monsieur qui lui loue sa maison, et son petit-fils, un gamin orphelin d’une vive intelligence. Elle découvre à Paros un monde chaleureux, plein d’humanité, en même temps qu’elle travaille sur les mémoires caustiques, amers et drôles, de l’actrice disparue.
Un roman d’un optimisme ravageur, ce qui est peut-être un trait du caractère libanais, mais que l’auteure élève au rang de joyeuse philosophie pratique.
Mon avis :
Tout d’abord merci à Babelio pour la masse critique qui m’a permis de découvrir l’auteure mais aussi cette maison d’éditions.
Ce roman m’a fait voyager au coeur des Cyclades en Grèce et j’ai adoré.
On y découvre Fina qui n’en peut plus de son mari qui est toujours négatif et décide après avoir bu un café dans une jolie tasse et qui a pris le soin de la laver de partir sur une île Grecque et tout plaquer.
Ça tombe bien elle doit traduire une autobiographie d’une actrice Américaine qui a fini ses jours sur cette île.
C’est une histoire très touchante et inspirante. Fina va se redécouvrir sans la négativité de son mari et le tumulte de la vie de Parisienne.
Parfois il est bon de prendre des décisions radicales dans notre vie pour se sentir mieux.
Un commentaire sur “Livre : « Après avoir fini mon café, j’ai tout quitté pour une île grecque. » de Eliane Saliba Garillon”